notre histoire
XVIIe SIÈCLE
On trouve les premières traces du nom « Lebègue » dans la région d’Angoulême. La famille est commerçante. Elle s’enrichit et parvient à acheter quelques seigneureries.
1861
Jean-Louis-Paul Lebègue part à Londres pour vendre les cognacs et autres produits des vignobles familiaux. Il y fonde la « Wine Shipping Company » : un des plus beaux négoces de la place londonienne. Son frère Jules le rejoint quelques années plus tard.
1870
Jules Lebègue rentre à Bordeaux afin d’acheter des vignobles pour l’affaire familiale. Il y rencontre Jules Jadouin, négociant depuis 1828 à Cantenac. Jules épouse Marthe, la fille de M. Jadouin. Ils s’installent au Château Montbrun à Margaux : cru très prestigieux de l’époque.
FIN DU XIXe SIÈCLE
Le commerce avec l’empire Britannique et la Wine Shipping Company est florissant et tout à fait complémentaire. Le négoce historique fondé en 1828 sous le nom « Jules Jadouin » devient « Jules Lebègue ».
DÉBUT DU XXe SIÈCLE
La famille Lebègue est désormais bien installée dans le Médoc.
La belle-famille de Jean-Louis-Paul, les Mackenzie s’occupent de la maison Londonienne. Le vin Lebègue s’exporte dans le monde entier.
1949
Début des « Lebègue Tasting » à Londres, événement incontournable où les personnages les plus influents du monde du vin se retrouvent. Nouvelle période de prospérité
pour la Maison.
2006
Rachat par la famille de négociants languedociens Jeanjean.
2010
Jeanjean devient AdVini. Jules Lebègue est la filiale de négoce bordelais de cette entreprise d’importance mondiale dans le paysage du vin.
2019
Après des années d’amélioration du site de Saint-Émilion, et fort de près de deux siècles d’histoire, le négoce Jules Lebègue amorce une mue environnementale radicale. Portée par une jeune direction, des valeurs fortes et une vision pour le vin de demain, Jules Lebègue a vocation à devenir leader de l’innovation et des vins « green » dans le vignoble bordelais.
Des fondateurs visionnaires
JULES LEBÈGUE
Natif des Charentes dans une famille de producteur de vins et Cognacs, il part rejoindre son frère à Londres à la fin des années 1860. Jules est passionné par le terroir, la vie rurale et les grands vins. Il est également un cavalier émérite, comme en témoigne sa pince de cravate en forme de fer à cheval.
Il reviendra en France en 1870 pour assurer les approvisionnements en vin de la société londonienne. Humaniste, homme de lettres et d’esprit, il prend rapidement la tête du négoce Jadouin, et assure sa prospérité en commerçant avec son frère, qui exporte les vins de Bordeaux aux quatre coins de l’empire britannique depuis Londres.
JULES LEBÈGUE
Natif des Charentes dans une famille de producteur de vins et Cognacs, il part rejoindre son frère à Londres à la fin des années 1860. Jules est passionné par le terroir, la vie rurale et les grands vins. Il est également un cavalier émérite, comme en témoigne sa pince de cravate en forme de fer à cheval.
Il reviendra en France en 1870 pour assurer les approvisionnements en vin de la société londonienne. Humaniste, homme de lettres et d’esprit, il prend rapidement la tête du négoce Jadouin, et assure sa prospérité en commerçant avec son frère, qui exporte les vins de Bordeaux aux quatre coins de l’empire britannique depuis Londres.
Jean-louis-paul lebègue
Le frère ainé de Jules, part en 1861 à Londres pour commercialiser les vins familiaux et d’autres vins du Sud-Ouest de la France. Il y fondra la société d’import/export « Wine Shipping Company » qui deviendra la « J.L.P. Lebègue & Cie ».
Homme d’affaire avisé, c’est lui qui permettra à la maison Lebègue de prendre une importance internationale. Totalement tourné vers l’export et particulièrement l’empire britannique, il obtiendra des prestigieuses exclusivités et allocations : Romanée Conti, Lafite et tant d’autres…
Connu pour être un mondain et homme de réseau, Jean-Louis-Paul participera à la Défense des Intérêts Économiques Français au Royaume-Unis. Il recevra à ce titre la légion d’honneur des mains du président Poincaré.
Jean-louis-paul lebègue
Le frère ainé de Jules, part en 1861 à Londres pour commercialiser les vins familiaux et d’autres vins du Sud-Ouest de la France. Il y fondra la société d’import/export « Wine Shipping Company » qui deviendra la « J.L.P. Lebègue & Cie ».
Homme d’affaire avisé, c’est lui qui permettra à la maison Lebègue de prendre une importance internationale. Totalement tourné vers l’export et particulièrement l’empire britannique, il obtiendra des prestigieuses exclusivités et allocations : Romanée Conti, Lafite et tant d’autres…
Connu pour être un mondain et homme de réseau, Jean-Louis-Paul participera à la Défense des Intérêts Économiques Français au Royaume-Unis. Il recevra à ce titre la légion d’honneur des mains du président Poincaré.
UNE HISTOIRE TRUFFÉE D’ANECTODES
De confession protestante, la famille décide durant la Révolution de raccourcir son patronyme en « Lebègue ». Reconnue comme une grande famille d’humanistes dans la région, le duc de La Rochefoucauld leur confie la garde de son magnifique château pendant l’exil.
Alors que la plupart des négociants quittent le vignoble pour s’installer dans le quartier des Chartrons, à Bordeaux, Jules, terrien dans l’âme, choisit de rester à Margaux où il s’illustre dans la lutte contre la fraude et les vins contrefaits.
Cavalier émérite et homme notable rural dans le Médoc, il aime les longues promenades à cheval dans les allées du Château Montbrun. Son épingle à cravate en forme de fer à cheval en témoigne.
Au début du XXe siècle, la société Jules Lebègue obtient l’exclusivité de domaines prestigieux tels que Lafite Rothschild sur certains marchés. Elle distribue également des vins bourguignons comme ceux du Domaine de la Romanée Conti. Elle ouvre même brièvement une filiale sur les quais de Bercy à Paris.
La marque Lebègue aurait vraisemblablement 100 ans d’histoire à l’export. Les premières exportations vers le Québec des vins J.Lebègue via la Wine Shipping Company datent du début des années 1920 !
Le Château Montbrun, fief familial à Margaux sera incendié deux fois en 1930 et 1954. Il ne sera pas reconstruit, entraînant le déménagement de la maison de négoce à Saint-Émilion.
UNE HISTOIRE TRUFFÉE D’ANECTODES
De confession protestante, la famille décide durant la Révolution de raccourcir son patronyme en « Lebègue ». Reconnue comme une grande famille d’humanistes dans la région, le duc de La Rochefoucauld leur confie la garde de son magnifique château pendant l’exil.
Alors que la plupart des négociants quittent le vignoble pour s’installer dans le quartier des Chartrons, à Bordeaux, Jules, terrien dans l’âme, choisit de rester à Margaux où il s’illustre dans la lutte contre la fraude et les vins contrefaits.
Cavalier émérite et homme notable rural dans le Médoc, il aime les longues promenades à cheval dans les allées du Château Montbrun. Son épingle à cravate en forme de fer à cheval en témoigne.
Au début du XXe siècle, la société Jules Lebègue obtient l’exclusivité de domaines prestigieux tels que Lafite Rothschild sur certains marchés. Elle distribue également des vins bourguignons comme ceux du Domaine de la Romanée Conti. Elle ouvre même brièvement une filiale sur les quais de Bercy à Paris.
La marque Lebègue aurait vraisemblablement 100 ans d’histoire à l’export. Les premières exportations vers le Québec des vins J.Lebègue via la Wine Shipping Company datent du début des années 1920 !
Le Château Montbrun, fief familial à Margaux sera incendié deux fois en 1930 et 1954. Il ne sera pas reconstruit, entraînant le déménagement de la maison de négoce à Saint-Émilion.